Mengyao Tiancrédits; ava. by lune, gif. by irasshaiii — identité et caractère —
tw ; trouble du comportement, névroses. Déception familiale, violences (verbale, physique, emotionnel, sexuelle) & comportement auto-destructeur, mort
informations identité — 天, T’ien, Tian, les cieux, le concept même du cosmos, du divin. 孟瑶, Meng Yao, Mengyao, fidèles à une ancestrale tradition, fiers de ces antiques racines, presque oubliées. Deux concepts qui te sont étrangers. naissance — Ton premier souffle, ton premier éclat se déroule à l’aube du printemps, sur les terres Galloises de Communauté, bien loin de la terre de tes ancêtres, le 21 Mars 1986. origines — Un sang d’ailleurs coule dans tes veines, les secrets de l’Orient murmurent à tes tympans. Mais tu n’as rien connu de la terre de tes parents, de l’imposante Chine dans laquelle ils ont grandi, laquelle ils ont fui deux ans avant ta naissance. Tu ne connais que ce ciel, celui du Pays de Galle, il est ton unique horizon. coventus — Dévotion à Rhiat, la nuit est ton domaine, le rugissement des moteurs sont ta symphonie et il fut même un temps où le bitume était ton terrain de jeu. Désormais Andromeda, tu n’as plus le temps pour participer aux courses, devenue le visage de ton conventus, implacable reine nocturne qui se doit de veiller sur ses adelphes. occupation — Juge au sein du Conseil de la cité, ainsi que propriétaire et gestionnaire du Fractum Rotam. Tu es devenue l’image publique de ton coventus, gardienne de ces traditions et tu veilles sur chacun de ses membres ainsi que sur toute leurs activités, tu surveilles toujours minutieusement l’organisation de chaque course. Au point que tu n’as même plus le temps d'y concourir pour ton propre plaisir. statut civil — Condamnée au célibat, une sentence que tu t’infliges de ton propre gré. Toi qui t’attaches trop vite, qui te mutiles le palpitant avec des désirs, des exigences hors normes, inaccessibles pour le commun des mortels. Tu as acculé, contraint à la fuite chacune des âmes qui sont venues effleurer ton cœur. Des émotions trop à vif, un ouragan qui se déchaîne dans les limbes de ton être. Indomptable, inhumaine, tu as depuis emprisonné cette bête infâme dans les ténèbres de ta psyché. orientation sexuelle — Longtemps refoulée, aujourd’hui assumée, tu clames ton homosexualité. Tu as abandonné le devoir pour le plaisir. familier — Sun, délicate renarde à la robe d’ivoire, être polaire au tempérament pourtant solaire. magie — Florakinesis, Quatrième temps. Les ombres n’ont plus de secret pour toi alors que la lueur des astres est devenue torture. Flore éternellement insaisissable et les émotions en décalage. Funeste flétrissure qui te foudroie, condamne ta maîtrise à la dégénérescence, troisième caresser, une sentence irrévocable.
caractère Adepte de la nuit, le voile obscur de Rhiat comme royaume. Un amour inconditionnel pour la voûte céleste qui scintille de mille éclats. (+) Envoûtante telle l’astre nocturne, ardente comme l’astre du jour. (+) Coeur sauvage. Les émotions sont aussi ardentes que le cœur des volcans. Tu t’attaches trop vite, trop fort, animée par les extrêmes. (+) L’ardeur des ouragans. (+) Hantée par le néant, il murmure sans cesse, tel un infâme tentateur, depuis les limbes de ta psyché. Il guette chaque faux pas, chaque instant de faiblesse. Un fléau insatiable. Tourmentée entre manie et ennui, carcasse qui survit aux rythmes de tes pulsions parfois funestes. (+) (Dés)intoxiquée à l’adrénaline. Tel un moteur qui rugit sous ton épiderme, gorge tes artères d’un plaisir indescriptible. Tu as connu son absence, tout comme ses excès. Aujourd’hui en harmonie avec ce délicieux nectare. (+) L’esprit vif, les mains agiles. Sans cesse en recherche du contact avec le métal glacial, ou ardent. C’est plus fort que toi, plus qu’un simple désir, mais un besoin brûlant. Tes doigts ne vivent que pour l’instant où ils saisissent la clé à molette, que pour le moment où ils plongent dans l’huile de moteur. Alors, tout le reste s’efface. (+) Une volonté inébranlable. (+) Esprit libre, souvent guidé par les pulsions qui animent l’instant présent. Un éclat d’insouciance fugace, une innocence dérobée, qui ressurgit le temps d’une mélodie, délicat tempo que tu massacres dans un éclat de rire rauque. Chanter sous la douche, danser sous les étoiles, prendre un bain de minuit ou gravir un immeuble en construction rien que pour contempler les cieux. Des souhaits qui t’emportent loin de la cruelle réalité. (+) Une main de fer dans un gant de velours (+) Animée par l’instinct maternel, tu te dresses comme l’impitoyable gardienne de ton coventus. Nul ne peut le meurtrir sans en payer le prix. (+) Un sourire de façade qui cache bien des démons, qui passe sous silence nombre d’angoisses.(+) Fière de ton indépendance, pour autant, elle n’est pas sans conséquences. (+) Tendre palpitant, une douce oreille à l’écoute de la souffrance d’autrui. (+) Chaotic Good.
— idéologie et rumeurs —
idéologie Infâme neutralité. Tu ne t’engages sur aucune voie, tu ne fais que protéger les tiens. Nature méfiante face à l’espèce humaine qui s’est détourné du divin. A tes yeux, l’histoire parle d’elle-même et trace les courbes d’un horizon sanglant. Elle met en avant les contours d’une espèce qui se voue à la destruction de ce qu’elle ne peut comprendre, de ce qui échappe à son emprise. Elle se forge une destinée sur les carcasses des vaincus. A tes yeux, se découvrir au monde est une porte vers les abysses, le prélude d’un âge qui sera plongé dans le chaos. Une ère funeste qui se conclura sur la mise en esclavage de la race humaine. Une chose que tu refuses. Tu demeures conservatrice, jusqu’au jour où l'on t’exposera les preuves concrètes d’une cohabitation possible sans la moindre violence. Infâme neutralité. Tu ne t’engages sur aucune voie, tu ne fais que protéger les tiens. Nature méfiante face à l’espèce humaine qui s’est détourné du divin. A tes yeux, l’histoire parle d’elle-même et trace les courbes d’un horizon sanglant. Elle met en avant les contours d’une espèce qui se voue à la destruction de ce qu’elle ne peut comprendre, de ce qui échappe à son emprise. Elle se forge une destinée sur les carcasses des vaincus. A tes yeux, se découvrir au monde est une porte vers les abysses, le prélude d’un âge qui sera plongé dans le chaos. Une ère funeste qui se conclura sur la mise en esclavage de la race humaine. Une chose que tu refuses. Tu demeures conservatrice, jusqu’au jour où l'on t’exposera les preuves concrètes d’une cohabitation possible sans la moindre violence.
rumeurs Indigne, un écho qui persiste à ton égard. Elle a délaissé sa famille, son héritage. Elle a renoncé à préserver notre culture. Elle refuse d’avoir une descendance. Elle a fuit ses fiançailles. Elle couvre de honte les siens. Tu serais le mal incarné si tu les écoutais. (+) Il paraît que les Tian, il viendrait de la haute de Zhen De. (+) Une vile tentatrice. Tes déboires sentimentaux, ils plaisent aux ragots. (+) Je-m’en-foutisme absolu, incarnation de la paresse. Un doux mensonge. (+) Ancienne championne, on murmure que le bitume s’embrasait presque sur le passage de Red Eyes, ta superbe monture mécanique, un mitsubishi eclipse sport de 1995 modifié par tes soins. (+) On entend parfois des rift de grattes ou quelques notes de piano danser par-delà les murs de ton appart. La musique, quelques curieux disent que c’est ton jardin secret, ton refuge. Encore plus que l’alcool, encore plus que l’adrénaline ou même la mécanique. (+) Tu l’as fais pas à la loyale quand tu te bastonnes, non, tu es le genre vicieuse, experte pour les coups en traître. Mais toujours non léthal. (+) Les sucreries, petit vice secret. Certains le savent, mais ils feraient mieux de se taire. âge; trentenaire géo; belge perso; inventée — chronologie et anecdotes —
chronologie
1984 — Tian. Ils ne sont pas d’ici. Exilés de leurs propres terres, ils n’avaient nulle part. Désireux d’échapper au passé, il ne pouvait que fuir. Des racines qu’on a arrachées de force, un récit qu’on condamne au secret, au tabou. Elle ne connaîtra jamais les raisons qui les ont poussés à abandonner leurs origines, dont ils sont pourtant si fiers. Ils s’intègrent assez aisément à Communauté, sans repère, tout est à reconstruire dans leur existence. Génitrice qui intègre le coventus de Zeddhis tardivement, devient, au fil du temps, une passiflore.
1986 — Naissance de l’héritière, symbole du renouveau. Mengyao. Môme paisible, sans repère. Elle passe des heures à contempler l’horizon, jusqu’au crépuscule. La nuit tombée, la fougue l’emporte. Obscurité fascinatrice, l’astre lunaire qui captive ses jeunes mirettes. Elle n’a d’yeux que pour cette voûte étincelante. L’azur du jour l’ennui au plus haut point.
1999 — La môme découvre une abominable vérité. Destin tracé par ses géniteurs, son existence se retrouve liée à celle d’un jeune garçon, de trois ans son aîné, dont elle ignore tout. Fiançailles arrangées. Rébellion naissante, elle refuse cette décision, mais elle n’a pas son mot à dire. La rencontre est brutale, adolescent avide, brutal, il profite d’une après-midi en tête à tête avec sa promise pour abuser de son corps. Innocence dérobée, sous la violence de l’acte, sous les coups et sous les larmes. Elle a été bafouée, elle ne laissera plus jamais un homme la toucher. Une promesse bancale. Cette même année naquit son jeune cadet.
2001 — Rébellion qui se concrétise. Alors qu’elle pourrait suivre la voie de sa génitrice, elle renie Zeddhis en faveur de Rhiat. Ses géniteurs ne peuvent dissimuler leur déception tandis qu’elle leur lance un regard de défis. Ce sera leur dernière confrontation. Plus jamais sa route ne croisera celle de ceux qui l’ont vu naître. Colère aveugle, elle embrasse la nuit pleine d’espoir. Désireuse d’effacer le mal qui hante sa chair, palpitant mutilé au tison ardent par l’acte du fiancé. Elle rompt dans ce même élan ses fiançailles avec cet infâme monstre, pourtant de bonne famille.
2003 — Elle ne se souvient plus de son nom. Il n’était qu’un instant d’égarement alors qu’elle errait au cœur de la nuit obscure. Loin du rugissement des moteurs. Il était là, à écouter ses complaintes, ses sinistres élans lyriques, la quête d’une jeune fille vers l’oubli. Ses mains étaient douces, ses baisers chaleureux et tendres, pourtant ce n’était pas ce qu’elle désirait. Impétueuse, elle finit par le repousser. Incapable de le regarder dans les yeux, elle fuit. Incompréhension qui bouillonne dans son cœur alors qu’il crache sa rage dans la nuit. Hystérique, ce mot résonne longuement au creux de ses tympans. Meng, elle est perdue, Meng, elle ne comprend plus. Larmes brûlantes roulent le long de ses joues, les mains tremblantes, psyché indomptable, palpitant qui rugit des émotions insaisissables, chaotique. Meng, elle n’est que chaos, dévastation dans ce monde. Meng, elle se mutile le cœur en quête de réponse.
2006 — Palpitant à vif. Devenue jeune femme, indomptable derrière son volant. Elle crée l’émoi, la fascination, autant chez les hommes que chez les femmes. Au cœur de l’attention, elle se forge un nom, une réputation au sein de Rhiat. Habile pilote et amante ardente auprès de quelques- unes de ses admiratrices. Elle collectionne les conquêtes, en quête d’une perle rare qui pourra l’arracher à ses nuits d’ennuis et de solitudes.Car au fond, elle est défaillante, le palpitant qui se débat au rythme des tempêtes, avec l’intensité des volcans. Elle s’attache trop vite, trop fort. Elle fait fuir celles qui, guidées par l’audace, s’approchent trop près. Elle est comme un incendie, elle consume tout ce qui l’entoure avant de s’enfuir vers le néant. Des passions fugaces, qui deviennent obsessions avant de s’évanouir, elle existe au rythme de ces montagnes russes sensationnelles. Elle s’épuise, trop jeune, trop fragile.
2013 — Au cœur de la tempête de son existence, elle surgit, elle. Capable d’apaiser ce brasier qui consume tout son être, d’ancrer son existence loin du néant. Elle surgit de nulle part. Elle n’est que douceur là où Meng n’est que violence, chaleur là où Meng n’est que vide. Elle susurre quelques promesses d’un avenir plus doux au cœur de la nuit, elle chante les louanges d’une existence à parcourir l’asphalte de Communauté. Elle lui offre un paradis à deux pas de chez elle. Et Meng, elle y croit à fond. Car Meng, elle n’a besoin que de ça, un chez elle, un phare dans l’obscurité. Meng, elle se laisse dompter. Une dernière fois, une dernière chance
2017 — Mais tout cela, s’était que des promesses en l’air, n’est-ce-pas ? Car la mort, elle l’a arrachée à elle. La mort, elle a tout emporté, elle a dérobé son phare. Elle a mutilé son coeur. C’était pourtant le risque, sur l’asphalte nocturne. Mais était-ce monnaie courante ? Les accidents, vous ne les comptez plus, c’est vrai. La carrosserie, ça se répare. Les plaies ouvertes, ça se soigne. Mais la mort ? On ne peut rien y faire. Meng, elle le sait bien. Mais Meng, elle ne peut l’accepter. Alors elle rejette la faute sur celle qu’elle aime. Elle ne pouvait pas mourir. Elle ne pouvait pas l’abandonner, oublier leurs promesses. Pour survivre, Meng, elle devait se sentir trahie. Se mentir. S’accrocher au peu de raison qui lui reste et continuer à avancer. Même si pour cela, elle devait faire prisonnier son palpitant, condamner son cœur au silence. Elle devait vivre, pour qu’elle lui pardonne. Pour qu’elle puisse s’excuser.
2020 — Andromeda, Meng, elle s’accroche désormais à ça. Elle s’accroche à eux, ses adelphes. Son phare dans la nuit. Tous autant qu’ils sont. Andromeda, c’est le fruit de son travail, de sa dévotion envers Rhiat. Elle se forge gardienne implacable de son coventus, s’improvise mère bienveillante et juste guide pour les siens. La préservation des traditions, ainsi que leur sécurité sont devenues ses priorités. Meng, elle doute d’être faite pour ça, car elle, elle doute d’elle-même. Car seule, dans l’obscurité, elle est comme une enfant, terrifiée, égarée. Sous ce sourire de façade, c’est d'innombrables démons qui hantent sa psyché. Mais encore plus, dans les abîmes de son être, rugit un ouragan, s’élèvent des monts infranchissable, bouillonne des volcans indomptable et s’abat des torrents impitoyables qui éloignent les prédateurs affamés de son esprit. Par delà ses hantises demeure une volonté intacte, inébranlable, gardée par une môme qui n’a jamais cessé de rugir, de se débattre. Malgré toute les punitions qu’elle s’inflige.
anecdotes Elle dit ce qu’elle pense, sans détour. Sans fleurir ses mots. Une langue acérée et vulgaire. Une franchise cinglante, souvent entre deux jurons. Sincérité éclatante dans ses envolées lyriques. (+) Capable de mettre le feu au commissariat pour un parfait aux fraises accompagné de sa pizza et d’une bière fraîche. Passion brûlante pour satisfaire sa gourmandise. Le coup de fourchette sensible aux saveurs du monde. (+) Reine invaincue, auto-proclamée, au lancer de fléchettes. (+) Surnomme, affectueusement, la majorité des jeunes “ gamin ” (+) Durant une longue période, elle était terrifiée par la seule présence d'hommes dans son espace personnel. (+) Devenue experte pour cacher ses émotions sous le masque de l'indifférence. (+) Pourrait passer des heures derrière le volant, sans allumer le moteur de sa bagnole, se remémorant le passé. (+) Ne parle jamais de sa famille. (+) Parle peu d'elle-même en vérité. (+) Démarre au quart de tour et redescend aussi sec. (+) Sun, tendre confidente qui accompagne chacun de ses pas, elles s’éloignent que très rarement l’une de l’autre. (+) Fascination étrange, vivace pour le feu. Elle pourrait jouer pendant des heures avec son briquet. (+) Encaisse plutôt bien l’alcool. (+) Encaisse moins bien la fatigue. (+) Deux siestes par jour. (+) Pas touche à ses outils, à l’exception d’Hydra (+) Laisse peu de gens approcher sa bagnole. (+) Il paraît qu’elle fait de la musique et qu’elle compose. Mais vaut mieux pas essayer de lui en parler, à vos risques et périls. (+) Danse souvent seule, avec la lune et les étoiles comme seuls témoins. (+) Elle se déplace en bécane le jour. Rarement en voiture.